Nathalie Kosciusko-Morizet a participé au segment ministériel de la 
conférence de Durban qui s’est tenue à Durban du mercredi 7 au vendredi 9
 décembre 2011. La ministre a pris la parole à la tribune en séance 
plénière jeudi 8 décembre 2011. Pour diviser par deux les émissions 
mondiales en 2050 par rapport à 1990, la France est prête à des avancées
 concrètes dans les domaines financiers, technologiques, juridiques.
Lors de son intervention en séance plénière, Nathalie 
Kosciusko-Morizet est revenue sur la position de la France au sujet du 
changement climatique : 
      " Chacun doit apporter sa pierre à l’édifice, si modeste soit elle. 
La France l’a fait pour sa part. En tant que membre de l’Union 
européenne nous avons montré notre attachement au Protocole de Kyoto qui
 est le seul instrument juridique international existant qui a pour but 
et pour effet de réduire les émissions de Gaz à effet de serre. La 
France a également agi cette année à la Présidence du G20, en faisant 
avancer les discussions sur les sources de financements pour lutter 
contre le changement climatique dans les pays en développement. " 
 La ministre poursuivit sur la nécessité d'un accord global:
cadre multilatéral de réduction des émissions. C’est pourquoi il nous faut lancer ici même à Durban un processus pour aboutir à un accord global. Il n y a pas d’autre voie. Il n’y a pas de Plan B pour la planète."
 
 

 
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